La Galette d'Alençon goûte au succès

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Les patrons sont satisfaits du bilan des six premiers mois

Exit les colorants, gaz neutres, additifs, conservateurs et autres arômes artificiels. La Galette d’Alençon est un produit garanti 100 % naturel. Et 100 % français : l’ensemble des farines utilisées sont fabriquées sur l’hexagone. Un concept qui séduit : depuis l’ouverture de l’usine (le 21 janvier dernier), l’activité s’est sensiblement accrue. Aujourd’hui, un peu plus de 50 000 galettes et crêpes sont confectionnées chaque semaine.

Recette secrète

Les associés, Jean-Yves Pierre et Pascal Enault, régalent l’Orne, mais pas seulement :

“Nous acheminons nos produits jusqu’à Caen, Bernay, Bayeux, ou Le Mans”, indiquent les patrons.

Fabriquée et conditionnée dans des locaux de 350 m2, au 35 rue de Verdun, la Galette d’Alençon a su se forger une notoriété en peu de temps : elle est déjà référencée chez plus d’une soixantaine de distributeurs et dans certains restaurants. Ce qui plaît ?

“Son goût, notre recette est secrète, et bretonne”, répondent les cogérants qui possèdent une autre usine dans les Côtes-d’Armor.

L’ultrafraicheur est aussi prisée : les produits, à la DLC (Date limite de consommation) courte, sont livrés seulement quelques heures après leur fabrication.

“Nous avons embauché trois chauffeurs et disposons d’une flotte de trois camions.”

"Grand atelier"

Élaboration de la pâte, cuisson, refroidissement, empilage, conditionnement et étiquetage… Ici, tout est standardisé. Mais le process est suivi par une équipe “à taille humaine” : dix employés. À terme, la Galette d’Alençon devrait afficher un effectif de douze personnes. Pas plus.

“L’idée est d’être un grand atelier. D’offrir autre chose qu’un produit sorti de l’usine d’un grand groupe agroalimentaire”

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